jeudi 10 septembre 2015

One Shot : Morning Rain

Le ciel été sombre, les nuages s'accumulais plus les minutes passer, et pour cause l'orage approcher de Palerme en ce début de nuit.

Il parcourait les ruelles de la ville Italienne sans se retourner, ses pas été vif et on pouvait y sentir une grande confiance, mais ce n'étais que le début de son périple.


La ville étais plus calme que d'habitude, les habitants n'étais pas de sorti ce soir là, peut-être parce que l'orage approcher ?

Au fond de lui, il savait très bien que ce n'étais pas du à l'orage, mais à ce qu'il avais fait quelque minutes auparavant, chassant cet penser de son esprit, il fit route vers l'église San Cataldo lorsqu'il passa sous un lampadaire qui s'illumina, on pouvais y apercevoir une trace de sang sur sa chemise blanche.

Il portait un costume, gris avec une chemise blanche, ses cheveux été d'un roux, virant orange clair, la lumière y refléter comme sur l'eau, comme celle qui commencer à tomber de ce ciel maintenant entièrement noir, il été menaçant, quand il leva la tête pour l'admirer, ses yeux vert émeraude firent éblouis par la lumière de l'éclair qui venait d’apparaître.

Pour lui, le ciel étais comme une prison, une prison bien pire que celle qu'il risquer à présent, et pourtant il ne pouvais s'empêcher de l'admirer et d'envier les oiseaux qui pouvais la parcourir chaque fois qu'ils le désirer.

Une fois l'éclair disparu, il repris sa route, courant s'abriter sous le porche d'un immeuble, une fois mis à l'abris, il s'appuya contre un mur et sorti un paquet de cigarette, on pouvais y lire "il fumo uccide".

En mettant sa cigarette au lèvres, il leva la tête pour admirer le ciel, à ce même moment dans l'immeuble, un piano se mis à tinter, ce son lui semblait proche, et pourtant si lointain, lui qui été habituer à entendre jouer du piano pouvais dire avec certitude que la personne qui en jouer ce soir là n'avais fait aucune fausse notes.

Les minutes passer a un rythme de plus en plus lent pour lui, comme si ce morceau envoûter et lui interdisait de continuer son chemin, quant la dernière notes fut, une larme coula le son de sa joue gauche, jetant ce qu'il resté de son mégot, il quitta le porche du bâtiment pour airais dans la ruelle sombres afin d'arriver à un point de rendez vous.

Arrivant à la rue suivant, il pu voir des lumière bleu et rouge teinter la fenêtre d'un salon de coiffure se trouvant dans la rue se trouvant en face de lui.

Aussitôt la lumière disparu, il s'empressa d’accélérer, son pas été désormais moins sur de lui, il trébucha avec le trottoir, la fatigue commença à se faire ressentir.

Au loin, on pouvais entendre une sirène dans tout un quartier, et des portières claquer, les habitant crier et appeler à l'aide, une femme courait a travers une foule pourtant danse, comme si rien ni personne ne pouvais l'arrêter, quitte à faire tomber ceux qui se dresser sur son passage.

Le temps sembler disloqué à cet endroit, alors que pourtant en journée il étais l'endroit le pris apprécier de tous, touriste comme habitant de Palerme.

La piazza Pretoria, voilà le nom de cet endroit qui étais un lieu attirant les gens qui fut théâtre ce soir là, d'un drame qui changea beaucoup de choses pour eux.

Arrivant sur les lieu, elle découvris un cadavre, elle tomba à genoux sous le choque, les larmes coulais le long de ses joues, sa peau étais un peu plus mate que la normal, ses yeux bleu remplis de tristesse en disais long sur les événement de cet soirée là.

Elle pouvais entendre ses collègue au loin, demandant aux passant de quitter les lieux et de les laisser faire leur travail, et pourtant à se moment là elle se demander encore si son travail étais juste.

Les lumières n'arrêter pas, le son bruyant d'une ambulance firent irruption, ce qui la sortie de ses penser, se relevant elle pris son arme de service et retira la sécurité, elle se mis à courir en suivant des traces de sang qui s'en allais aux ruelles, son regard cacher par les mèche noir
de sa longue coiffure au style chic montrer de la colère mêler à de la compassion, au fond d'elle, elle savais qu'elle devais agir rapidement, ce n'étais pas une histoire qui serait résolu comme les autres selon elle, pour cause le cadavre qu'elle avais vu, et surtout connu de son vivant.

Après de longue minutes, elle arriva a l'immeuble ou il s'étais arrêter afin de fumer, elle y trouva encore une fois des traces de sang mais aussi
le paquet de cigarettes qui étais vide.

Elle compris quelque chose, c'étais devenu évident pour elle désormais, a son tour elle entendis le piano tinter, elle chercha d'où il venait lorsqu'elle aperçu une silhouette par une des nombreuse fenêtres que posséder le bâtiment, c'étais celle d'une femme, plutôt grande tout comme elle.

A sa vue, elle se remémora quelque souvenirs qui provenait d'une proche, qu'elle avais perdu, les larmes au yeux elle repris ses recherche, qui la mena tout droit dans la rue ou il avait trébucher, elle y trouva son briquet, qu'elle pouvais reconnaître aisément, il étais orné d'un aigles dorée, bien entendu faux, car il ne pouvait se permettre de s'en offrir un vrai avec les maigre revenu qu'il avais.

Plus loin, voulant s'éclairer pour lire une lettre qu'il avais sorti de sa poche, il se rendit compte qu'il avais perdu son briquet.

Cet lettres étais importante pour lui, il voulais la lire pour n'importe quel moyen, il aurait voulu avoir les mêmes yeux que celui de son chat, il aurait pu lire dans le noir pensait-t'il, il remis la lettre à sa place puis repris son chemin, mais pas en direction de l'église cet fois mais en quête d'un peu de lumière.

Avançant dans le noir complet, en utilisant sa main droite pour tâter le terrain, il fini par rejoindre une route assez fréquenter, il passa de l'autre coté et se mis sous le premier lampadaire qu'il trouva, sortant sa lettres il sentis son cœur raté un battement.

Dans cet lettres, étais écrit les derniers mots d'une jeune femme ayant à peu près vingt ans, il y trouva réconfort et joie, elle y décrivais ses vacances semble-t'il.

Elle lui disais que tout allais bien, qu'elle et une certaine Melissa s'amuser beaucoup lors de leur séjour a Paris, qu'elle avais pris des photos pour lui et qu'elle l'aimais plus que tout.

On pouvais lire "signé Angela Rossino et Melissa Piantoni", datée aujourd'hui d'il y a dix ans.

Tout ce qu'on pouvais voir dans ses yeux étais de la profonde tristesse, il pensais à tout ce qu'il avais pu traverser ses dix dernière années afin d'en arriver jusque là, à lire cet lettre sous un lampadaire un soir d'orage.

Il remis a nouveau la lettre a sa place et repris son chemin, désormais sans véritable but, il voulais juste s'échapper et rentrer chez lui prendre une douche afin de retirer le sang qu'il avais sur lui.

Il aperçu une voiture avancer dans sa direction les gyrophares allumer, il se cacha dans la ruelle se trouvant à sa droite et attendu que la voitures passa, il couru jusqu’à un bâtiment a l'allure délabrer mais pourtant si accueillant pour lui, il ouvris la porte avec une clé, pris les escaliers
et s'arrêta au troisième étages, alla au fond du couloir et ouvrir la porte du 22, il ferma derrière lui.

Il étais enfin chez lui, là où il voulais qu'ils soit, il pris la direction de la salle de bain, plutôt grande pour un bâtiment aussi peu entretenu et habituer à avoir des habitant peu soigneux, il retira sa veste et sa chemise puis son pantalon et pris une douche, le sang sortais en réalité d'une plais au niveau de son épaule droite, sortant de la douche il pris une aiguille et du fil pour faire ce qu'il devais faire.

Pour lui, les choses n'étais que justice, mais pourtant il se sentais coupable, il se demander si c'étais réellement juste, il aurait voulu que les choses se passe autrement mais sur le moment il pensait ne pas avoir le choix, ce qu'il avais entendu à ce moment mérité que justice soit faite et si il ne le fessais pas lui même, rien n'aurait changer, car en dix ans personne n'avais rien fait et cet affaire avais étais classer sans suite.

Une fois habiller, il pris son costume et le fit brûler dans la douche pour retirer toute preuves de sa culpabiliser puis il alluma la TV dans son grand salon et tomba sur un journal téléviser qui annoncer le meurtre du chef d'un gang qui avais habitude de sévir les soir de pleine lune a Florence.

La présentatrice l'appeler Three Finger, c'étais un homme connu pour utiliser de jeunes filles entre dix et vingt ans, il les prostituer pour garder sa place dans la Mafia, cependant il y a dix ans il avais perdu deux doigt quand une des filles qu'il avais kidnapper lui avais arracher avant de s'enfuir, depuis il se fessait appeler Three Finger et avais disparu des écran radar de la police Italienne.

Cependant, la journaliste confirme qu'il a étais abattu d'une balle dans le cœur froidement ce soir et que son identité est révéler par la police : Mateo Rossino.

Il continuer de regarder, le regard de plus en plus agressif en buvant sa bière quand la journaliste commença à abordé le sujet de l’événement d'il y a dix ans, la présentatrice commença alors de parler de l’enlèvement de deux jeune filles de vingt ans après leur voyage pendant le mois de Mai, orchestrée par Three Finger et son bras droit qu'elle nomma Five Finger.

Il jeta alors sa canette à la poubelle et sorti un album photo ou il regarda la photo de deux jeunes filles, il sourit puis tourna la tête pour regarder
la télévision ou la présentatrice étais en train de parler du complice, il pu voir à l'écran un homme devant un juge, on pouvais lire :
"Procès de Ignazio Piantoni".

C'étais l'ancien commissaire de police de Palerme, il fut mis en prison il y a 2 ans après un long procès qui durais depuis près de 4 ans, il étais impliquer dans l'affaire Three Finger, juste avant cette longue soirée il avais enfin avouer qu'il étais Five Finger.

Pour lui les choses étais enfin régler, leurs noms étais enfin révéler et il étais satisfait, au point d'en rire, peut-être étais-ce la bière ?
Pourtant il ne pouvais s'empêcher de pensait à ces deux jeunes filles, priver de leur avenir, priver de leur vies, oui, elles avais perdu la vie.

Il fini par éteindre la télévision et pris une veste, il se rendit sur le toit de son immeuble afin de contempler le ciel, les contempler encore même si elle n'étais plus.

Un peu plus loin, alors qu'elle le chercher, sans même savoir pourquoi, elle se rappela ce jour où il avais disparu, elle se demander pourquoi elle étais encore en train de faire se métier, alors qu'ils n'avais cesser de lui mentir et de la trahir un peu plus chaque jours, elle aussi désirer se venger, sa colère ne pouvais être apaiser malgré qu'il soit derrière les barreau, rien ne pouvais arrêter la frustration qu'elle ressentais, ce soir là plus encore que chaque autres soir de ces dix dernière années, pour elle la vie étais si cruelle, on lui prenez tout et on riez d'elle, malgré tout elle s'étais accrocher à la vie et ne c'étais pas arrêter car elle étais persuader qu'un jour justice serait faite.

Elle se demander si elle avais le droit de juger cet acte qu'elle trouver égoïste et injuste, pourtant plus elle se poser de question moins elle avais de réponse et elle se perdais, elle voulais que cet soirée soit la dernière de ce qu'elle appeler "un cauchemar", plus elle s'approcher du but plus elle commencer à prendre sa décision, il étais temps pour elle, il ne manquer que lui pour qu'elle soit enfin prête et que leurs vie reprennent là ou elle s'étais arrêter il y a dix ans de cela.

Arrivée devant un immeuble, elle jeta sa casquette qui tomba dans une flaque d'eau, la pluie commencer à se calmer doucement.

Elle entra dans l'immeuble qui n'étais pas fermer, arriver au deuxième elle vie la porte ouverte, elle compris aussitôt et monta sur le toit.

Il étais là, assis sur le bord, se tenant la tête en fumant et buvant une bière le sourire au lèvres, elle s'avança doucement avant qu'il ne se retourne, il pouvais lire "Adjudant-Chef Piantoni" sur sa veste, elle avais les larmes aux yeux, il allais redescendre dans son appartement, il lui laissa la bière dans les mains alors qu'elle ne savais quoi dire et encore moins faire.

Une fois qu'il eu quitter le toit, la pluie avais cesser et il entendit un son de vêtement, comme ceux que font celui qui tombe au sol.

Il souris en fermant les yeux et continua son chemin, quant à elle, elle pris une gorger plus grande qu'habituellement et jeta la canette vide dans la poubelle qu'il avais misent à disposition sur le toit pour ceux de son immeuble.

Elle descendis les escalier et approcha de la porte de l'appartement 22, elle pouvais y lire "Chez Andrea et Gabriella Rossino-Piantoni" sur un petit écriteau fait main.

Elle poussa la porte et entra, c'étais chez elle, là où il avais passer ses dix dernières années à préparer ce moment.